Après un congrès toulousain particulièrement réussi en présence du garde des Sceaux (voir nos articles ici et ici) et alors que la discussion budgétaire s’amorce, l’USM a voulu interpeller les médias pour rappeler que les moyens de la justice française ne sont pas à la hauteur de ses enjeux.
Si la trajectoire de la loi de programmation est une première étape, encore faut-il qu’elle ne soit pas remise en cause. C’est le sens de ce communiqué de presse.