L’USM s’inquiète de la disparition du conseiller justice du Premier ministre et dénonce avec force ce qui doit, en l’état, être analysé comme une OPA administrative de la place Beauvau sur la place Vendôme, au préjudice de l’indépendance de la justice, pilier de notre état de droit.
La presse (voir les articles dans le Monde – Les magistrats inquiets d’une perte d’influence du ministère de la justice – et le Figaro – Les magistrats s’inquiètent de leur perte d’influence à Matignon – réservés aux abonnés) a relayé nos inquiétudes.